clermont, 1875. Les rues pavées brillaient marqué par la artifices fine qui s’attardait sur les toits d’ardoise et les réverbères vacillants. L’air était chargé de brume, noyant les contours des passants qui se hâtaient vers les cafés enfumés et les théâtres illuminés. Mais dans une ruelle jalouse, loin du chahut des boulevards, une illumination plus cachée filtrait à travers les rideaux épais d’une petite accointance aux lettres dorées défraîchies : Maison des Arcanes. À l’intérieur, l’odeur du résultat ancien et de l’encens flottait dans l’air. Des étagères encombrées croulaient par-dessous le poids de grimoires poussiéreux et de chandelles consumées. Au foyer de la pièce, une table ronde recouverte de velours écarlate attendait, irrévocable, par-dessous la eclat tremblante d’une lampe à bien huile. Assise après, Mathilde de Rozières observait le tarot marseillais étalé appelées à elle. Son regard était fixe, perdu entre les motifs complexes des revelations essentiels. Depuis l’enfance, la voyance lui parlait par ces physionomie énigmatiques, révélant à celle qui osaient la téléphoner à des vérités inexplicables sous le support du communauté. Mais cette nuit-là, des attributs était différent. Les cartes qu’elle venait de sauver formaient une combinaison qu’elle n’avait jamais répandue en premier lieu. Le Pendu, la Lune, la Tour. Un alignement impossible, un prévision immensément tranché pour devenir occulte. Elle fronça les sourcils et effleura le fin du dernier arcane retourné : La Mort. La voyance n’était pas une vision de la science juste, mais elle savait décoder ses alertes. Cette diable n’annonçait pas une ample révolution ou un développement inévitable. Elle portait en elle la marque du affliction, celle d’une apocalypse imminente. Un frisson parcourut son échine. Depuis des années, elle lisait l’avenir pour des touristes sans noms, des jeune femme de dessus du panier société venues téléphoner à en cachette, des écrivains en quête d’inspiration, des hommes d’affaires avides de dogmes. Mais jamais les cartes ne s’étaient dédiées à bien elle avec une telle franchise. La sinoquet sur la table vacilla brusquement, projetant sur les murs les ombrages des produits entassés dans la monde des affaires. Mathilde recula délicatement, le verve court. La voyance lui envoyait une information. Quelque étape allait s'exercer. Et cette fois, c’était elle qui en était la dessein.
L’air dans la Maison des Arcanes était devenu plus lourd, presque oppressant. Mathilde restait immuable, figée amenées à cette carte qui n’aurait jamais dû exister. Son illustration, d’une précision troublante, représentait cette silhouette voilée, mystérieux et mystérieuse. Aucun surnom, aucune sorte de chiffre. Une entité qui ne faisait stand d’aucun tarot vécu. La voyance parlait en archétypes, mais cette fois, elle lui envoyait un énoncé qu’elle ne savait pas piger. La lampe à huile vacilla encore, projetant sur les murs des ombres dansantes. Mathilde sentit un frisson se modifier le long de son revers, un mémoire silencieux que son instinct comprenait évident même que son corps ne l’analyse. Elle se força à exhiber grandement, puis, doucement, elle tendit la majeur poétique l’étrange carte. Ses main tremblaient lentement dans ce cas qu’elle l’effleurait du bord des ongles. Le feuille était glacé marqué par sa peau, comme s’il avait s'étant rencontré conservé dans un lieu où la clarté ne pénétrait jamais. Elle la retourna. Rien. Le envers de la carte était vierge, d’un blanc autoritaire, dénué des couleurs chaque jour qui ornaient son divertissement de tarot. Comme si cette carte n’avait pas de passé. Comme si elle venait d’être imprimée par une force qu’elle ne comprenait pas. Un battement sourd résonna dans la concussion, un son efficace, presque caverneux. L’horloge sur le comptoir venait de cesser son tic-tac précis. Minuit. Mathilde recula d’un pas, son sel court. La voyance lui avait souvent envoyé des prophéties par-dessous des lignes différentes, mais jamais avec une telle brutalité. Elle rassembla son résolution et jeta un contemporain regard sur la table. Les distinctes cartes s’étaient déplacées. Le Pendu. La Lune. La Tour. Et la Mort. Toujours les mêmes, mais cette fois, elles entouraient l’arcane anonyme comme par exemple si elles le protégeaient, par exemple si elles formaient un espace autour de son appel crypté. Mathilde recula encore, heurtant une radiation après elle. Un livre tomba dans un bruit sourd, s’ouvrant à une page jaunie par les siècles. Elle baissa les yeux. Un symbole était tailler sur le feuille. Le même que celui figurant sur la carte inconnue. Un frisson parcourut son échine. La voyance ne lui donnait plus rien que un mémoire. Elle lui indiquait que tout était déjà boite mail. Mathilde ferma les yeux un moment. Elle comprenait tout de suite. Ce n’était pas une peur, mais une axiome énigmatique. Quelque chose avait immensément duré là, dans l’ombre de son être. Et cette nuit, enfin, elle venait de le enfermer. Le dernier contrariété avait parlé. Et désormais, il n’y aurait plus de la renaissance.
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